Pourquoi faire du ski de randonnée nordique ?
Plusieurs arguments ! D’abord, c’est une pratique gratuite qui ne nécessite pas l’achat d’un forfait de ski. De plus, pour des petites balades, cette pratique ne nécessite pas une condition physique et une technique importante comme le ski alpin hors-piste : tout le monde peut se faire plaisir, sur une petite sortie. La seule exigence est d’avoir les bases du pas alternatif du ski de fond classique ! Enfin, le dernier avantage pour le ski de randonnée nordique est qu’aucun aménagement n’est nécessaire : c’est une pratique respectueuse de l’environnement, plus responsable, moins polluant et authentique.
A mi-chemin entre le ski de randonnée et le ski de fond, le backcountry permet de découvrir de grands espaces pour s’écarter des domaines skiables et s’immerger en pleine nature. Le ski de randonnée nordique se pratique avec un ski à large semelle, muni de carres, d’écailles sous la semelle ou de peaux de phoque selon vos envies et la technicité du parcours. A la descente, on utilise la technique du télémark ou celle du ski alpin : les fixations sont inspirées de celles utilisées en ski de fond avec un talon qui reste libre à la montée comme à la descente.
L’intérêt grandissant pour la discipline tient dans son aspect passe-partout qui séduit aussi bien les skieurs de ski de fond, les adeptes du ski de randonnée qui ne veulent plus prendre de risque en montagne et les fidèles de la raquette à neige en manque de « glisse ».
Le ski de randonnée nordique peut se pratiquer d’une façon contemplative ou sportive, aux expéditions plus engagées. Il se pratique alors, sur des terrains vallonnés et sur des pentes plus importantes que l’on qualifie d’alpi-nordique (randonné nordique sur des pentes alpines) : les adeptes de la glisse et de l’effort physique peuvent s’évader plus loin sur des pentes plus raides.
Alors, prêt pour l’aventure ! …